Crédit photo: © Hannah ASSOULINE//Fabrice VEIGAS
Suite au dépôt du dossier de la candidature conjointe de quatre pays du Maghreb (la Tunisie, l’Algérie, le Maroc et la Mauritanie) pour inscrire le couscous sur la liste représentative du patrimoine immatériel de l’UNESCO, le JT de 20h de France 2 a consacré, hier soir, un reportage sur cette spécialité culinaire d’Afrique du nord intitulé: « Patrimoine mondial : le Maghreb plaide pour le couscous ».
Au souris d’agneau confit, au bar sauvage, au poulpe ou aux petites merguez et boulettes aux herbes, dans le restaurant « A Mi-Chemin » du chef franco-tunisien Nordine Labiadh, au 31, Rue Boulard (Paris XIVe), le couscous se décline en plusieurs saveurs. Des recettes variées adaptées au terroir, mais une même origine, berbère.
« Il s’appelle « kosksi ». C’est un mot berbère qui tire ses origines du bruit que font les graines (de la semoule de blé) au contact de la bassine et les bracelets des femmes qui préparent le couscous. Et c’est le geste qui a donné naissance au mot couscous », fait savoir le chef originaire de la ville de Zarzis, Nordine Labiadh. « Le couscous est une vraie identité de tous les pays du Maghreb », ajoute Nordine Labiadh dans le VTR du JT de 20h diffusé, samedi soir, sur France 2 (voir-ci-dessous).
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